La Gazette de Passadoc – N° 65

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  • Les QUIZ !
  • On raconte un peu… beaucoup… passionnément… Femmes de Provence… Jouons avec les noms des villes… Amours d’antan… Roger Bricoux… La rocambolesque histoire de deux Niçois rescapés du Titanic… Un moment de bonne humeur !… Le siège d’Avignon… L’Inquisition… Lou peilharot… Murviel-lès-Montpellier… Un Fréjusien héros de la Résistance… Les contingents militaires d’Afrique à Fréjus…
  • Dans les cartons d’archives… Il était une fois le feu de bois…
  • Vagabondages.
  • Photos d’hier.
  • La bibliothèque de Passadoc.

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François Abbe

Femmes de Provence !

… c’est à vous de jouer… ou plutôt d’envoyer à Passadoc :
– Des photos anciennes ou récentes…
– Des histoires anciennes ou récentes…
– Des anecdotes anciennes ou récentes…
– Des choses simples… ou pas ! Bref, tout nous intéresse.

Ensuite on fait connaître tout ça sur Passadoc et Abbe Photo. Ça nous fera de quoi lire, voire rire !!!

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Une bergère croisée aux Mayons (Var) dans les années 90 – Photo André Abbe

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André Abbe

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Jouons avec les noms des villes

Bayonne dans le New Jersey… Lyon dans le Mississipi… Des villes du sud ont des homonymes dans le monde entier. Montpelier, avec un seul L, est la capitale du Vermont, un état verdoyant des États-Unis qui fait frontière avec le Québec. Si je vous parle d’elle aujourd’hui, c’est parce que j’aime son Capitole (chaque état US a le sien). Tout à fait au sommet de la coupole se dresse une statue féminine. Non ce n’est pas une réplique de la statue de la Liberté, c’est la statue de Pomone en personne.
C’est qui ça ? Une nymphe d’une grande beauté qui a toujours repoussé les avances des dieux. Divinité des arbres fruitiers, elle n’avait de pensées que pour les vergers bien entretenus.
En 2009, entre Montréal et Boston, j’ai fait une halte au pied de la statue de Pomone, égérie de l’agriculture et des agriculteurs.

Clic !… L’article de Claude Boyer est à cette page.

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Claude Boyer

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Amours d’antan

Léonie avait noué des relations intimes avec Félicien, un ouvrier de son grand-père, chez qui elle demeurait et où était également hébergé le jeune homme. Ils étaient jeunes et de roucoulades en œillades ce qui devait arriver arriva, Léonie se retrouva bientôt enceinte des œuvres de Félicien. Mis au courant de sa future paternité, Félicien qui n’avait aucunement l’intention d’assumer ses responsabilités commença à délaisser Léonie malgré toutes les tentatives qu’elle déploya pour le ramener à elle.

N’osant avouer sa faute à son entourage, elle pensa que le meilleur moyen de laver son honneur serait d’attenter à la vie de son amant qui, après l’avoir séduite, la laissait dans une situation bien peu enviable. Elle déroba le vieux pistolet d’arçon de son grand-père, le chargea avec du plomb et de la poudre qu’elle trouva dans une malle, se vêtit également avec les habits d’un de ses frères et vint ainsi accoutrée, le samedi 21 novembre 1868 à 8 heures du soir, à Gigondas, attendre le fautif.

Quand celui-ci parut, elle déchargea sur lui son arme à bout portant, alors qu’il descendait l’escalier de la maison de son oncle pour se rendre chez un ami avec lequel il comptait aller à la chasse le lendemain. Félicien fut tué sur le coup. Léonie prit alors la fuite, cachant son arme sous sa blouse, et parvint à regagner le domicile de son grand-père dans la plus grande discrétion : son absence n’avait pas été remarquée.

Prévenu aussitôt, le juge de paix du canton de Beaumes-de-Venise se rendit à Gigondas avec la maréchaussée. Dans la matinée du 22, Léonie, soupçonnée, fut conduite à Gigondas où elle fit des aveux complets devant le procureur impérial. Elle fut aussitôt écrouée à la maison d’arrêt d’Orange. Qu’advint il d’elle par la suite ? L’histoire ne le dit pas…

Source : GénéprovenceLe Petit Marseille, 20 décembre 1868, citant Le Démocrate de Vaucluse

Aucune description de photo disponible.

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Roger Bricoux

Le jeune homme dont je vous parle aujourd’hui n’est Passadocien que par le fait qu’il habite Monaco au moment où débute son aventure, en effet il naît en Bourgogne et disparaît quelque part dans l’Atlantique nord au large de Terre Neuve une nuit d’avril 1912.

Que les puristes me pardonnent mais j’ai trouvé sa tragique histoire intéressante et je veux vous la faire partager.

Clic !… la suite à cette page

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La rocambolesque histoire de deux Niçois rescapés du Titanic

Il y a 110 ans, dans la nuit du 14 au 15 avril 1912, le Titanic sombrait au large de Terre Neuve dans l’Atlantique Nord. Deux Passadociens l’ont vécu…

La rocambolesque histoire de deux Niçois rescapés du Titanic

Clic !… Leur histoire

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Un moment de bonne humeur !

Clic ! Allez ! Zou !… un peu de musique !

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Alain Cathala

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Le siège d’Avignon

Louis VIII de France prend la croix des mains du nouveau légat du pape qui l’a convaincu de laisser la guerre de succession avec les Anglais pour s’occuper de la croisade albigeoise. Il réunit à Bourges tous ses seigneurs qui lui doivent un service de guerre et descend la vallée du Rhône. Sur la route, les consuls ou représentants des villes et villages viennent lui prêter serment et lui remettent les forteresses et des otages. Avignon… la ville prête serment mais refuse que toute l’armée traverse la ville n’autorisant le passage que pour le roi et une petite escorte. Étant “excommuniés” depuis longtemps, les Avignonnais craignaient des exactions. En réaction, le roi Louis VIII de France assiège Avignon, détruit ses remparts et trois cent maisons, puis comble ses fossés. Il fait ensuite construire un fort à Villeneuve-lès-Avignon où il installe une garnison. C’est pendant ce siège que les représentants des habitants de Montpeslier vont présenter au roi une lettre de recommandation du Pape Honorius III. Cette lettre recommande au roi d’épargner Montpeslier qui est une “terre d’abondance bénie de Dieu” et que “ses habitants et ses consuls sont délicieux” . Cette lettre a tant d’effet sur le roi qu’il fait rédiger des lettres de sauvegarde portant “affranchissement pour les gens de Montpeslier de tout péage sur les terres du roi et de ses amis”. Montpeslier sera donc préservé de la deuxième croisade contre les Albigeois grâce à cette lettre de recommandation du Pape…

Louis VIII de France meurt de dysenterie en rentrant à Paris. Ses médecins diagnostiquent une trop longue abstinence sexuelle pendant le siège d’Avignon ! Sacre de son fils Louis IX (12 ans) et régence de Blanche de Castille sa mère. Jaume a 18 ans, il doit à nouveau faire face à une révolte des nobles aragonais dirigés par son oncle l’ “infant” Ferdinand. Soulèvement général en Aragon ! Jaume et Alienor sont retenus prisonniers dans la Zuda de Saragosse. Le pape vient à son secours par l’intermédiaire de l’archevêque de Tortosa qui calme la situation en restaurant l’autorité de Jaume.
Changement de Pape : mort d’Honorius III et élection de Grégoire IX. Le Traité de Paris metta fin à la croisade albigeoise.

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L’inquisition

Le Pape Grégoire IX dispense les Franciscains de suivre le règlement trop strict de Saint François d’Assises déjà adouci par l’auteur ! Un courant désirant au contraire revenir aux préceptes de pauvreté absolue du saint (les spirituels) se forme en Languedoc et sera bientôt qualifié d’hérésie et sujet à l’Inquisition.
Le Pape Grégoire IX instaure le tribunal de l’inquisition qui sera assuré par les ordres mendiants, Franciscains et Dominicains.

Jaume signe des actes et lois à Montpeslier favorisant le commerce, dont l’autorisation de commercer avec les marchands “Sarrazins”. Les Ben Labi de la Caballeria et les Ravaya, Juifs Séfarades, sont les banquiers du roi, Ils financent les conquêtes et se voient confier par le souverain des charges gouvernementales.

Première Bulle du Pape sur la sorcellerie (“Vox in Rama” décrit les rituels de sabbat !). Nouvelle Bulle du Pape instituant les tribunaux de l’inquisition prioritaires sur les juridictions des évêchés et seigneuries. Installation de tribunaux fixes de l’inquisition à Toulouse et à Carcassonne. Construction à Montpeslier de quatre nouveaux fours pour nourrir la population croissante.

Jaume à 26 ans, il vient à Montpeslier pour régler des troubles qu’avaient causé dans la ville les nommés Gerraud de la Barce, Pierre Boniface (puissant notable) et Bernard Regordan proches des anciens seigneurs Guilhem, et sans doute de l’ancien parti d’Agnes. Ils promettent devant Jaume qu’ils ne causeraient plus de troubles dans la ville. L’avenir prouvera le contraire…

Pendant 10 ans les tribunaux de l’inquisition ont jugé les “hérétiques” dans le Languedoc. Les répressions furent particulièrement violentes à Carcassonne où “Ferier” surnommé “le marteau des hérétiques” fit de nombreux massacres. Raymond VII de Toulouse parvint à faire lever l’inquisition sur ses terres le premier. Enfin la fin de l’hérésie est déclarée à Montpeslier, le tribunal de l’inquisition y est supprimé dix ans après son instauration. Pendant cette période, Jaume prend généralement le parti du consulat pour lutter contre l’influence de l’évêque Jean de Monlaur II, mais ne peut rien contre l’inquisition. Le statut miraculeux de Notre-Dame-des-Tables permet toutefois certaines indulgences aux “hérétiques” qui s’y repentent.

Les tribunaux montpeslierains sont levés mais l’inquisition est maintenant en place et elle fonctionne dans toute l’Europe occidentale. Le Pape Innocent IV promulgue une bulle dans laquelle l’usage de la question (la torture) est autorisé (Ad Extirpanda). Les Papes suivants renouvelleront cet usage. Assassinat de 4 inquisiteurs près de Toulouse à Avignon. Le Talmud est brûlé en place publique à Paris.

Jaume a 35 ans. Naissance de Jaume II à Montpeslier, la veille de Pentecôte. Le fils de Jaume 1er, futur roi d’Aragon et de Majorque, est adopté comme un enfant de la ville par les habitants comme l’avait été son père…

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Lou peilharot !

Lou peilharot…. peilharot. Il criait dans la rue, et lorsque les enfants n’étaient pas sages, on disait :
Le peilharot va te prendre !
À chaque cri de son passage, il n’y avait plus un enfant dans la rue, et je me souviens, moi j étais sous la table. À Montpellier chez nous, le peilharot, c était Mathieu le gitan.

Peut être une illustration de une personne ou plus et personnes debout

Lou Peilharot de Montpellier, dessiné par Marsal (1896) publié en 1896 dans le recueil de 50 illustrations des vieux métiers de Montpellier,
intitulé “Dins las carrieiras dau Claupas”.

Dans l’imaginaire que nous ont transmis les anciens, le peilharot était cet homme à l’allure sale, toujours habillé de vêtements sombres, à l’air peu engageant, qui criait à tue-tête dans les rues de Montpellier et des villages languedociens, “Peilharot, Peilharot”.
Il portait sur le dos un sac de toile de jute rempli de peaux de lapins achetées à vil prix aux ménagères, ou de tissus usagés… Mais c’était surtout un homme dangereux auquel la mère de famille, exaspérée par sa descendance trop remuante, promettait de livrer ses enfants peu sages. Ainsi, lorsqu’il s’approchait, les enfants fuyaient, se cachaient et parfois allaient même se terrer sous le sommier de leurs lits, en espérant lui échapper.

J’ai dû faire partie des dernières générations promises au peilharot, même si quand j’étais enfant, il n’y en avait déjà plus… Il n’en exerçait pas moins une terreur menaçante… Je me rappelle également, revenant de promenades un peu trop aventureuses, lorsque les épis s’étaient glissés dans la maille de mes pulls, ou que mes pantalons étaient tâchés, on me traitait de peilharot, avant de m’obliger à retirer tous mes habits et me rendre à la civilisation des gens “comme il faut”… Tout un imaginaire aujourd’hui disparu… L’arrivée prochaine du peilharot ne ferait plus peur à nos jeunes générations, ils s’en amuseraient même !!! Seule la disparition momentanée de leurs outils de communication moderne serait certainement à même de provoquer l’inquiétude que nous ressentions lorsque son nom était prononcé…

Texte Fabrice Bertrand.

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Jeanne Monin

Il y avait le même… là-haut… dans le Nord !
Enfant, j’ai passé une année entière chez une de mes tantes… Petit pavillon de banlieue parisienne et un jardin dans lequel grandissaient un poirier, un abricotier, où poussaient quelques rangs de salade, des pieds de tomates et quelques autres légumes… il me semblait immense !
Vivaient aussi deux chiennes, une chatte, des poules, des lapins… et tout ça faisait des petits qui enchantaient ma toute, toute petite enfance. Le paradis pour une fillette de la grande ville !
De temps en temps, un lapin finissait sa vie… Rapidement occis sans souffrance, il était pendu par une patte arrière à la porte de la grange et savamment dépecé, vite déshabillé !

Fourrure à l’intérieur, bourrée de paille, la peau séchait à l’air en attendant que vienne l’homme qui – agitant une clochette – avertissait de son passage par un sonore :
– Peau d’ lapin ! Peau !
qu’il répétait tout au long de son chemin, en tirant une petite charrette où s’entassaient les “peaux d’ lapin, peaux ! ” achetées trois fois rien… quelques francs de l’époque.
Mais ce peilharot ne me faisait pas peur !

Peut être de l’art

Chardin

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Murviel-lès-Montpellier… les vestiges du Forum antique

16 avril, sur la commune de Murviel-les-Montpellier, au lieu-dit du Castellas, sous un soleil bienvenu, a eu lieu l’inauguration de la couverture des vestiges de l’aile nord du forum antique.

Connu depuis le 16e siècle, fouillé assidûment depuis le 19e siècle, ce forum avec ses mosaïques était, depuis toujours, exposé aux quatre vents, soumis aux intempéries. Maintenant que les chantiers de fouille permettent d’en lire l’importance et d’en raconter l’histoire – ce qu’a très bien su faire M. Tollard – il était grand temps d’en assurer la protection, de faire en sorte que les témoignages de cette richesse archéologique puissent être transmis à nos successeurs. Voilà qui est fait !

Et superbement fait avec cette structure particulière élégante, composée de toiles tendues entre des éléments métalliques, due au cabinet Covalence Architectes. Le tout forme un subtil équilibre pour protéger ce forum et le découvrir, […] ce site bénéficie de cette protection car “les ruines n’ont pas vocation à n’être que des ruines. Elles ont énormément à nous raconter“, ainsi que nous le rappelait Michaël Delafosse. Un grand bravo pour ce nouvel équipement qui témoigne de la vocation culturelle et patrimoniale de notre Métropole. C’est une fierté pour nous tous.

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Philippe Natalini

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Un Fréjusien héros de la Résistance…

Le 21 avril, cérémonie de commémoration du sacrifice d’Albert Einaudi, sur la RN7, à l’entrée des Adrets de l’Estérel.

Né le 19 août 1911 à Fréjus (Var), ce résistant a été abattu le 21 avril 1944 aux Adrets (Var). Fils d’un cultivateur, Albert Einaudi s’était marié le 19 décembre 1936 avec Gabrielle Jeaume. Employé de la SNCF à la gare de Fréjus, il avait la responsabilité du poste d’aiguillage dit “de l’intendance militaire”.
Membre du mouvement Combat, puis des MUR, membre du réseau de renseignement Cotre sous le n° 472, il avait organisé le télescopage de deux trains allemands en gare de triage de Fréjus le 30 janvier 1944. Soupçonné, il avait été interrogé alors par la Gestapo, mais, ayant prétexté que les signaux n’avaient pas fonctionné, il avait été relâché.

Quelques jours plus tard, Albert Einaudi est dénoncé, il est arrêté par deux miliciens français (Marcel Massiach et Julien Viard) et leur chef allemand (Adolph Hoeber) du Sipo-SD de Draguignan, le 21 avril 1944, en début d’après-midi, sur son lieu de travail.
Ces agents ont indiqué conduire Albert à Nice pour y être interrogé. Mais son corps criblé de balles et atrocement mutilé est retrouvé le 24 avril suivant au bord de la RN7 en direction du village des Adrets par un berger. À la libération du secteur, ses assassins ont été identifiés et condamnés à mort par la Cour de justice militaire de Draguignan. Ils ont été fusillés le 05 octobre 1944.

Une stèle a été érigée après la Libération sur le lieu du drame et, par décision du conseil municipal de Fréjus du 17 janvier 1965, son nom et celui de deux autres résistants morts au cours de la guerre ont été donnés à des rues de la localité. Albert Einaudi a été décoré de la médaille de la Résistance à titre posthume. Il a obtenu le titre de “Mort pour la France”.

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Les contingents militaires d’Afrique à Fréjus

À partir de l’été 1915, les premiers contingents d’Afrique s’installent à Fréjus, dans des camps aménagés pour l’occasion. L’idée de cette installation revient au général Gallieni (Fréjusien depuis son mariage), et alors gouverneur militaire de Paris puis ministre de la Guerre à partir d’octobre 1915. On estime à 50 000 le nombre maximal de soldats, cantonnés entre le massif de l’Esterel et la basse vallée de l’Argens, entre le bord de mer du quartier des Sables à Fréjus-Plage et la cuvette de Bagnols-en-Forêt.

Dès 1916, aux troupes africaines et indochinoises viennent s’ajouter les Somalis que l’on installe à Roquebrune-sur-Argens. Le séjour dans les camps est mis à profit pour parfaire l’instruction des unités.

Des terrains de manœuvre et des champs de tir sont créés pour l’instruction militaire, et des salles de cours pour l’alphabétisation. Les blessés sont soignés puis mis en convalescence dans quatre hôpitaux construits pour la circonstance à Fréjus, d’autres hôpitaux et maisons de convalescence sont installés sur toute la Côte d’Azur, de grands hôtels sont réquisitionnés à cette intention. Des cimetières recueillent les corps de ceux qui n’ont pu survivre. Des lieux de culte sont édifiés par les soldats Africains et les Indochinois pour permettre à chacun de pratiquer sa religion : la mosquée “Missiri” et la pagode indochinoise (temple bouddhique) “Hong Hien” subsistent. Un mémorial des guerres en Indochine a vu le jour à Fréjus en 1993. Sa nécropole recueille les dépouilles de 17 255 soldats identifiés, et de 3 152 soldats inconnus, tous tués durant les guerres d’Indochine entre 1940 et 1954.

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Jeanne Monin

Il était une fois le feu de bois…

Après avoir lu “Roger Bricoux” et “… les rescapés du Titanic” de Claude Boyer, j’ai feuilleté Passadoc.fr … plein de photos, de portraits, d’anecdotes… et j’ai trouvé ce souvenir d’André Abbe, “Il était une fois le feu de bois...”, une dernière odeur d’hiver en cet avril, chaud et ensoleillé comme un jour d’été…

Il était une fois le feu de bois... et son odeur exportable

Clic !… Asseyez-vous près de l’âtre… André raconte…

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Philippe Levieux

Joucas… joli petit village niché dans le Vaucluse ; à peine 350 habitants.

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Maryse Laugier

Le printemps s’invite au village de Trigance… (Var)

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Alain Cathala

Peut être une image de intérieur

François, le bourdon de la cathédrale de Montpellier.
Cette grosse cloche (près de 4 tonnes) a été fondue en 1867 par la fonderie Crouzet-Hildebrand à Paris.
C’est une des plus grosses cloches de la région. (Source François Le Blévec).

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À l’abordage !

Clic !… Embarquement immédiat !

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Escale à Sète… Fête des traditions maritimes

Clic !… On chante, on danse avec entrain

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Patricia Tritiapat Gueirard

Valensole – Alpes de Haute Provence

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Marie-Odile Beraud

Le charme des cartes surannées…

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Clic !… EN VENTE ICI

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