—– Petit Clic ! —– car son histoire est à cette page
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Giselle Penat-Laborde
Le ravi…
On nomme ainsi l’incontournable santon de toute crèche provençale, un personnage qu’on peut également retrouver dans les crèches autrichiennes.
À l’encontre des autres santons toujours occupés à quelque tâche, le ravi est un des rares personnages à être représenté les bras bien détachés du corps. On le dit niais, idiot du village ou plus simplement faible d’esprit.
Mais par cette posture de bras tendus vers le ciel, il manifesterait peut-être mieux que tous les autres sa joie d’apprendre la naissance de l’enfant Jésus et son espoir de jours meilleurs.
Clic !…Source : cette page
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Jean-Pierre Serra
La Place de Catalogne…
Pour compléter la publication d’André sous la plume de François et illustrée par un selfie avec Ericka devant les façades d’Antigone, l’un des quartiers mythiques de Montpellier “imaginé” et réalisé par le fameux architecte catalan Ricardo Boffil,
… je tiens à partager ce montage de photos d’une autre de ses créations tout aussi emblématique d’ailleurs : il s’agit de la Place de Catalogne dans le 14e arrondissement de Paris, où j’ai laissé de nombreux souvenirs de mes vies professionnelle et élective …
Pour le fun et pour revenir à Montpellier mais aussi à Ricardo Bofill, je dois confier que j’ai eu l’immense privilège d’assister à une présentation de ce projet visionnaire au début des années 80 par le créateur et Georges Frêche, le Maire qui en fut avec l’un de ses adjoints, l’un des initiateurs…
D’autres souvenirs tout aussi exceptionnels, car il faut se rappeler qu’à cette époque, ces visions prospectives étaient plus que contestées !!! On connaît la suite et on peut voir le résultat aujourd’hui plus de 40 ans plus tard …
François Abbe
On a lancé Passadoc exactement pour ça : faire connaître nos propres photos d’archives. Merci Jean-Pierre !
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Philippe Natalini
Le maquis “Vallier”.
… un des plus importants maquis varois de la Seconde Guerre mondiale.
Ce maquis départemental de l’AS (Armée Secrète) constituera son existence de février 1944 à août 1944 avec d’abord une poignée d’hommes, pour atteindre près d’une centaine de maquisards. Ceux-ci étaient pour la plus part réfractaires aux réquisitions pour le travail obligatoire au profit des Allemands. Ces jeunes gens étaient tous volontaires pour participer à des combats futurs contre l’occupant.
Le premier campement du maquis Vallier est installé avec l’aide de l’AS du canton de Fayence entre Callian et Mons, au lieu dit “frigouré” ou Farigoule. Ce camps bougera vers le nord-est de Mons, aux Lauquiers quelques temps après, puis une douzaine de fois jusqu’au Débarquement de Provence.
Dans le même temps, est installé à Aups (83) un camp de filtrage pour les recrues car ne monte pas au maquis qui veut. À cette époque, les volontaires doivent obligatoirement passer par le Café de France au Muy. De là, après avoir été une première fois questionnés, ils sont pris en charge pour être convoyés jusqu’à un cabanon isolé de la commune de Figanières (83). En ce lieu, ils sont à nouveau “vérifiés” selon un rituel bien précis dont le déroulé se passe généralement de nuit.
Le candidat doit d’abord connaître le mot de passe (“Le Cardinal ? – Il est rouge”) ce qui est la garantie qu’il a bien suivi les tests du premier filtrage. Ensuite, il est enfermé dans un cabanon pour y être longuement questionné et mis en garde. Si le candidat satisfait à cet interrogatoire, il est alors conduit par les véhicules de la société de transport “Gaby” de Louis Picoche (Responsable départemental du service maquis de l’AS) jusqu’au camp de filtrage d’Aups ou, selon l’époque, jusqu’au maquis lui-même.
Un des premiers à l’intégrer était Raoul Ugolini dit “Bébert”. Ernest Millet, employé de la société Gaby et maquisard, assurait ces liaisons.
Sources : Jean Marie Guillon.
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L’histoire du GUYANE
Le GUYANE est un cargo frigorifique de 96 m de long qui est lancé en 1934. Il assure le transport de fret entre la Martinique et la métropole.
En 1943 il est réquisitionné par les Italiens et rebaptisé Acqui. Mais les alliés débarquent en Italie et le navire est sabordé afin de ne pas tomber entre leurs mains. Les Allemands en prennent alors possession, le renflouent, le réarment pour le transformer en mouilleur de mines. Il prend alors le nom de Niedrsachsen. Il sera affecté en Méditerranée afin de tenter d’empêcher un débarquement allié en Provence.
En février 1944, il quitte la rade de Toulon avec une cargaison de mines et deux navires d’escorte. Mais le sous-marin anglais Upstart le repère et tire plusieurs torpilles, dont une va toucher le Niedersachsen par tribord avant. Il coule rapidement faisant 12 victimes.
Aujourd’hui, son épave gît sous plus de 100 mètres d’eau au large de Toulon, et ce depuis 78 ans…
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Le citron de Menton !
Une légende raconte qu’Ève a enterré un citron dans le sol de Menton parce que ce lieu lui rappelait la douceur de l’Éden…
Les citronniers s’y plaisant, se sont multipliés et développés mieux que partout ailleurs.
Aujourd’hui, Menton est célèbre pour ses citrons délicatement parfumés, et chaque année la Fête du Citron attire de nombreux visiteurs. Cette année, cette manifestation haute en couleur se déroulera du 12 au 27 février.
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Claude Boyer
Un jeune homme bien courageux qui va pédaler pour une noble cause…
Clic !… Le parcours de Joffrey Maluski
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André Abbe
Le Rocher de Roquebrune-sur-Argens
Mimosas et Rocher de Roquebrune.. Voilà 50 ans déjà que cette photo a été prise [On la retrouve dans Roquebrune en images – Page 86]. Mais un détail a changé…
On y voit aujourd’hui trois croix “attestée depuis la nuit des temps, puisque leur origine, selon la légende locale, remonterait à la mort du Christ”.
“C’est au début des années 90 que le sculpteur Bernar Venet qui réside et a créé sa fondation au Muy, est venu à la rencontre de la municipalité, afin de proposer la réalisation de trois croix monumentales au sommet du Rocher. L’œuvre a été inaugurée le 11 juillet 1991.
Pour chacune de ces croix, le sculpteur a choisi de rendre hommage à trois artistes majeurs de l’histoire de l’art. Il s’est inspiré de célèbres «”crucifixions” peintes aux 14e, 15e et 16e siècles, chefs-d’œuvre de Giotto, Grunewald et le Greco.” [Source : Le Rocher de Roquebrune – voir ci-dessous]
Clic !… Le Rocher de Roquebrune
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Giselle Penat-Laborde
Santons et crèches… Saintes-Maries-de-la Mer
Clic !… Regardez !
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Les métiers de Marseille disparus aujourd’hui…
Clic !… Voici leur histoire.
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Patricia Tritiapat Gueirard
Une vue partielle de Gonfaron (Var ) avec la chapelle Saint-Quinis qui veille sur ses habitants …
Hyères… Magnifique coucher de soleil
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Alain Cathala
Le château des Cévennes à Portes
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Giselle Penat-Laborde
Gravure de Christophe Tassin (1600-1660) représentant la ville de Gap (Hautes-Alpes) en 1634. La ville n’a alors pas l’étendue qu’elle a aujourd’hui, mais elle fait tout de même figure de carrefour important des Alpes.
(Source Geneprovence).
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Jean Paul Dubroca
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