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- Les QUIZ ! …
- On raconte un peu, beaucoup… passionnément !
La croisière jaune… Les traditions… 1944, à la Braïsse… Balade à Brillanne… Les chemins de fer de Provence… La cloche d’Hérépian… Saint-Laurent-des-Arbres… Les heurtoirs des portes provençales… - Vagabondages…
- Photos d’hier
- “L’Apéro! ” de Passadoc !
- La Bibliothèque de Passadoc
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Claude Boyer
La Croisière Jaune
Le 4 avril 1931, débutait la célèbre Croisière Jaune d’André Citroën… le matériel avait été testé à Meyruies sur le Causse Méjean…
“En 2011, à l’occasion des 80 ans de la Croisière Jaune, les Clubs Citroën ont organisé un événement à l’Aven Armand sous l’égide des frères Giraud, gérants du garage Citroën de Meyrueis et petits fils de M. Malafosse. Pour commémorer les exploits des équipes Citroën qui avaient démonté les autochenilles pour passer les cols de l’Himalaya à dos de mulet, une 2CV fut démontée devant la Spéléo Gare pour être descendue à dos d’homme par le tunnel et réassemblée au fond de la cavité au milieu de la forêt de stalagmites”.
Clic !… Toute l’histoire… ou presque.
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Jean-Pierre Serra
Les traditions…
[…] je me propose de partager avec les membres de ce groupe si attachant et ce durant toute cette semaine des Rameaux, chacun des épisodes de cette série que j’ai intitulée “Corso Fleuri–Mi-Carême”, pour évoquer l’une des traditions les plus typiques et les plus marquantes, qui était l’un des temps forts de la vie de notre village, puis de notre commune …
[…] On retrouve aussi, comme je l’ai souligné dans mes commentaires, ces techniques de décoration ancestrales caractéristiques des chars roquebrunois, perpétuées de génération en génération par tous ces bénévoles passionnés :
– la bruyère remarquablement et régulièrement posée sur les différents côtés du char,
– les fleurs pour souligner les arêtes, ou réaliser des motifs, qu’elles soient en papier crépon (confectionnée lors des veillées) ou fraichement coupées comme les œillets ou encore les soucis,
– le lierre, patiemment cousu feuille à feuille sur des sacs en toile de jute, avant que les agrafeuses ne prennent le relais,
– le buis, tressé pour réaliser les bordures …
Mais aussi, comme on le verra plus tard, cette fleur de bruyère, tamisée et collée ensuite sur les sujets … Sans oublier, l’originalité, la qualité et les détails des costumes de celles et ceux qui défilaient sur les chars … Ce travail de confection de costumes faisait aussi partie de ces soirées partagées, chaque équipe dans le plus grand secret mettait un point d’honneur à créer des costumes adaptés au sujet ou au thème retenu …
Clic !… Lundi 4 avril…
La suite est à lire chaque jour sur le site “Groupe Passadoc”.
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Philippe Natalini
1944… à la Braïsse près de Digne.
Chargé de l’attaque d’un dépôt d’essence à Gaubert, un détachement de FTP (Francs-Tireurs et Partisans) du maquis “Faïta” , arrivant de Lambruisse, s’installe au hameau de la Braïsse [ou Braisse] dans la nuit du 4 au 5 avril 1944.
Le matin du 5, deux maquisards, Quirillo March et Vittorio Lazaro – partis à Mézel pour récupérer des vivres – sont arrêtés par les Allemands. Torturés, interrogés, ils révèlent la présence de leurs camarades à la Braïsse. Depuis, ces deux malheureux sont portés disparus.
L’après-midi du 5 avril vers 17 heures, un groupe de la 8e compagnie Brandebourg, des soldats allemands et le responsable de la Sipo-SD de Digne (soit 80 hommes environ) encerclent les maquisards. Un furieux combat, évidemment déséquilibré, s’engage et va durer près de trois quart d’heure.
Huit maquisards parviennent à s’échapper, mais dix sont tués. Six sont faits prisonniers, interrogés, torturés avant d’être déportés en Allemagne… rares sont ceux qui en reviendront vivants.
Pascal Puddu, André Bertolucci, Eugène Blanchard, Pierre Capus, Marius Lieutaud, René Marchand, Albin Roux, Roger Aharonian et Valentin Romana faisaient partie des maquisards tués dans l’affaire, dont huit seulement furent identifiés. Bien que toutes les précautions aient été prises par l’occupant pour que les funérailles des victimes de la Braïsse au cimetière du Bourg soient tenues secrètes, une partie de la population dignoise était sur le boulevard Gassendi durant la soirée du 7 avril afin de leur rendre un dernier hommage, se découvrant au passage du véhicule contenant les dix cercueils.
En bordure de la RN 85, sous le hameau de la Braïsse, un premier monument a été inauguré un an après les faits, le 5 avril 1945. C’était un simple panneau de bois, aux angles barrés de tricolore, avec l’inscription suivante : Passant souviens-toi ! Voici l’endroit où le 5 avril 1944, 10 maquisards, lâchement assassinés par un ennemi sans pitié, sont morts pour que tu vives libre et meilleur, dans un pays plus beau.
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Dom Puig
Balade à Brillanne, dans les Alpes-de-Haute-Provence
La Brillanne est une commune des Alpes-de-Haute-Provence située à environ 350 mètres d’altitude, le long de la RN 96 et à proximité de l’autoroute A51, à environ 3 km d’Oraison, 5 km de Villeneuve et 6 km de Lurs. Le village offre une belle vue sur la vallée de la Durance. La commune de La Brillanne est aussi connue pour ses champs de tulipes qui illuminent tous les ans le paysage au début du printemps.
Un magnifique spectacle multicolore qui attire de nombreux promeneurs. Un festival de couleurs qui se prolonge aussi sur la commune voisine de Lurs. Une culture réalisée pour la production de bulbes, à destination des Pays-Bas. “En avant Fanfan la Tulipe, en avant Fanfan en avant !”
Clic ! … ♫♫♪♪♪♪♫♪♫♫♪
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Alain Cathala
Les chemins de fer en Provence
Avez-vous voyagé dans ce type de machine ?
Lorsque la cabine de pilotage se trouve en arrière ou en hauteur, lorsque l’on est juste devant les rails, comme si nous étions le conducteur-spectateur du voyage… c’est magnifique ! On avale le paysage et ses rails...
Je garde un excellent souvenir d’un petit voyage de la ligne de Bedarieux à Ceilhes, un voyage que j’avais offert à un jeune garçon de 8 ans pour son anniversaire. Les frais voyages, avaient été pris en compte par la SNCF, visite de la cabine de pilotage, mis aux commandes. Il s’agissait de Kévin Albiol.
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La cloche d’Hérépian
En 1985, la municipalité de Georges Frêche décida d’offrir une cloche à la basilique Notre-Dame-de-Tables afin de célébrer le millénaire de la ville. Cette cloche, toujours en place dans le clocher aujourd’hui, pèse environ une tonne et porte le nom d’Emmanuelle-Julie-Isabelle.
Elle a été fondue par la fonderie Granier à Hérépian et bénie le 27 avril 1986 au cours d’une cérémonie présidée par Monseigneur Boffet. Elle sonne pour les angélus trois fois par jour et pour la messe le samedi soir.
Texte Benjamin Le Blévec
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Saint-Laurent-des-Arbres dans le Gard
… petit village du Gard (30) avec ses 3000 âmes, fier de ses pierres et bâtisses au passé égaré entre les pages de l’Histoire, organise depuis quelques années une journée à caractère médiéval. Le principe est simple : une fête de village familiale et conviviale.
À l’ombre des tours centenaires du village et sous l’œil du Saint-Laurent, le public accède gratuitement à des jeux pour tous, des rencontres et découvertes avec des chevaliers et des saltimbanques qui partageront leurs savoirs. Chaque année, Saint-Laurent revient pour revivre cette journée avec les habitants du village : à travers la voix de son héraut, il partage une histoire aux multiples mystères qui pourront être résolus avec l’aide du public participant librement à des jeux, questions, défis, chasse au trésor, qui leur permettront au final …. mais ça, c’est la fin de l’histoire. Alors venez l’écrire avec nous !
Et au soir, afin de finir en beauté cette journée, un repas en l’honneur de Saint-Laurent est organisé ! La fameuse grillade du Saint ! Quoi de mieux que d’honorer ce martyr en reprenant ses propres mots lorsqu’il était enchaîné sur l’objet de son supplice :
– Pas assez grillé, de l’autre coté non plus, pas assez grillé….
…dixit la belle-mère du cousin de Jean, qui a entendu Philippe murmurer à l’oreille de Sarah qui contait à son fils l’histoire du saint racontée par sa mère à la voisine…..)
Qui dit repas, dit spectacle et musique et pour danser tous se retrouveront pour un bal folklorique !
[Texte Guenièvre Legende – Cette fête est programmée pour le samedi 27 Août 202]
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Giselle Prenot-Laborde
Les heurtoirs des portes provençales
[…] aujourd’hui encore, au seuil des plus grandes propriétés provençales, dans l’ombre d’une porte cochère, se révèlent de petits bijoux oubliés, des cœurs de bronze renversés rehaussés de fleurs de lys en relief, des rosaces ogivales finement ciselées, des dragons recourbés, gueules dirigées vers la coquille de Saint-Jacques-de-Compostelle. Ou encore des heurtoirs en forme d’anneaux ronds mauresques, martelés de points et de lignes, creusés au burin, qui font un pied de nez aux séries banalisées en bronze, en cuivre et même en fonte de l’ère industrielle. Autant de petites merveilles qui restaurent toute l’influence de la tradition ferronnière espagnole et le talent minutieux des artisans compagnons qui sillonnèrent autrefois les routes de France et de Navarre en quête de chefs-d’œuvre à confectionner.
Source – Texte et photos : Passion-Provence
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Guy Bouyer
Saint-Raphaël
Promenade dans la ville … et sur le port.
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Alain Pierre
La Fête de l’Ours
“La Fête de l’Ours encore célébrée dans trois villes autour du Canigou , montagne sacrée des Catalans”
Tout lire sur “Groupe Passadoc” – Mardi 5 avril.
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Alain Cathala
Le château d’Espic
… à Murviel-lès-Béziers – Hérault
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Notre-Dame-des-Neiges
Chapelle Charles de Foucault
Vendredi 1er avril… il neige sur le Gard.
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Roquefort-sur-Soulzon
Matin, midi et soir… avec le bon pain de chez nous et bien sûr du Marcillac !
répond cet Aveyronnais.
Clic !… Écoutez !
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Peyrelade
Clic !… Magnifique !
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Avignon
Le Palais des Papes
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Cannes
Cannes et sa tour médiévale de 45 mètres, située à la castré par le sujet. Domine les îles de Lérins, Sainte-Marguerite, Saint-Honorât. Il paraît qu’un souterrain partait du château de la castré jusqu’au monastère de l’île de Saint-Honorât… mais rien n’a pu être prouvé !
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Gilles Barattini
Parc de la Camargue
Flamant juvénile “Je veux m’enfuir… je veux partir…”
Golfe de Saint-Tropez
Faucon crécerelle… Mésange charbonnière… Cormoran et Goéland.
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Guy Bouyer
Saint-Raphaël
…vers 1890.
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Jean Paul Dubroca
Le port de Toulon
... dans les années 1890 [Photo Jean Giletta – GénéProvence]
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Alain Cathala
Les prisons de Montpellier
Tout commence par une image en noir et blanc du Palais de Justice de Montpellier
[…] prise vers le début des années 60, ou alors peut être un peu plus tôt.
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Montpellier encore…
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Montpellier toujours !
Aux XIIe et XIIIe siècles, les troubadours comme Jaufré Rudel, Bernat de Ventadour, Bertran de Born ou Raimbaut d’Orange dominent l’Europe littéraire. Et bien sûr, ces poètes s’expriment en langue d’oc… tout comme le fera beaucoup plus tard Alain Péglion, dit Alan Pelhon !
Celui-ci est né le 13 mai 1946 à Nice et c’est à Nice qu’il mourra le 3 juin 1994 ; il n’a que 48 ans.
Instituteur, conteur, poète et acteur occitan, il grandit à Coaraze, élevé par sa grand-mère Sandrine qui lui fait découvrir le dialecte coarazien.
En 1968, il participe aux Rencontres poétiques de Provence créées par le poète et maire de Coaraze Paul Mari (Alain Péglion le connaît depuis sa naissance) et présidées par Jean Cocteau.
En 1970, il rencontre Mauris, chanteur, compositeur qui met en musique plusieurs de ses poèmes.
André Abbe a choisi Vi devi parlar… et Monia Courchet-Biga lui répond Il faut que je vous parle.. un beau duo… un doux moment de poésie… un bel instant tout simple…
(un poème choisi par Monia Courchet-Biga)
Clic !… EN VENTE ICI !
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