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- Et la fête continue !
- On raconte un peu, beaucoup, passionnément…
À propos des bories… Eugène Poubelle… Des ovins et des caprins trop gourmands !… Escapade à la source… Sur la rose des vents… Martin Bidouré, fusillé deux fois… Pierre-André de Suffren… Passion lavande !… - Et puis voici des vers...
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- La bibliothèque de Passadoc
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Et la fête continue !
François Abbe
Clic ! Feu d’artifice et “Se canto” à Montpellier !
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André Abbe
À propos des bories…
Les paysans qui ont construit ces abris étaient des bâtisseurs de génie, se passant de plâtre et de ciment. Grands frères des capitelles, les trulli des Pouilles (Italie du Sud) servent encore d’habitation dans de rares endroits.
Ces constructions prennent des noms différents suivant la région, par exemple :
– Borries : en Provence, dans le sud-ouest, en Dordogne
– Capitelles : sud-ouest
– Caselles : en Corrèze, dans le Quercy
– Paillers : en Corse
– Cazelles : dans le Lot
– Gariottes : dans le Lot, en Aveyron
– Trulli : en Italie du sud (Pouilles notamment).
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Alain Cathala
Eugène Poubelle
Il y a 115 ans – précisément le 15 juillet 1907 – Eugène Poubelle meurt à Paris. Il est alors ambassadeur.
Mais peut-être est-il surtout connu pour son arrêté de 1883 : alors qu’il est préfet de Paris, il oblige les propriétaires parisiens à fournir à leurs locataires des récipients communs, munis d’un couvercle et d’une capacité de 40 à 120 litres.
Écologiste avant la lettre, il signe un arrêté qui prévoit également le tri des déchets et donc trois boîtes (bois garni de fer blanc) sont obligatoires :
– une pour les matières putrescibles,
– une pour les papiers, les chiffons
– une pour le verre, la faïence… et les coquilles d’huîtres !
Un ramassage des ordures est mis en place.
Depuis longtemps, les Parisiens jetaient leurs déchets sur la voie publique ou dans les fossés (mais ce n’était guère mieux dans les autres grandes ville). C’est d’ailleurs grâce à ces déchets, qui se sont fossilisés, que l’on peut reconstituer les modes de consommation des Parisiens depuis deux mille ans.
La mesure est très impopulaire et les chiffonniers se sentent menacés… “On reproche au Préfet de vouloir récupérer le marché des “chiffonniers”, ces personnes dont le métier consiste à arpenter les rues pour racheter des choses usagées et les revendre à des entreprises de transformation. On lui reproche également d’imposer des dépenses supplémentaires aux propriétaires et un surcroît de travail aux concierges chargés de sortir ces nouveaux récipients. Le peuple, comme la presse, s’insurge contre cette mesure jugée malhonnête et dangereuse pour la survie de nombreux métiers. L’un des éditos les plus virulents sera publié au lendemain de la mise en œuvre de l’arrêté, le 16 janvier 1884, dans le quotidien Le Figaro.”.
[…] Poursuivant son combat pour un Paris plus propre et plus hygiénique, le préfet Poubelle mettra également en œuvre les premiers arrêtés imposant le “tout-à-l’égout”, avant de quitter son poste parisien.
Eugène Poubelle terminera sa carrière dans le sud de la France en tant que conseiller général de l’Aude. Il meurt le 15 juillet 1916 ; il est enterré à Carcassonne.
Une rue Eugène Poubelle existe à Paris, dans le très chic 16e arrondissement. Elle est l’une des plus petites voies de la capitale : une impasse non loin de la Seine qui n’a qu’un seul numéro : le 2 !
Article Filae.com – Compléments d’info. Jeanne Monin → Sources “Zig-Zag.com” et Wikipédia.
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Des ovins et des caprins trop gourmands
À Joncels, les troupeaux de moutons, brebis et chèvres ne sont pas les bienvenus dans les châtaigneraies sur la commune. Ainsi, le 27 messidor an XI (16 juillet 1803), le juge de paix du canton de Lunas est saisi d’une plainte de Jacques Lauret, agriculteur domicilié à La Boissière, commune de Joncels, contre Jean Arragat, berger d’André Bastide, propriétaire foncier, et Jean Roustan, berger de Pierre Combécal, également propriétaire foncier.
Les deux hommes sont mis en cause pour avoir mené paître leurs troupeaux de moutons, brebis et chèvres dans la châtaigneraie de Jacques Lauret. Les troupeaux lui ont détruit certains jeunes châtaigniers par la dent des chèvres et ils lui ont aussi mangé l’herbage qui existait dans sa propriété. Il réclame aux deux bergers la somme de cent francs pour lui tenir lieu de dommages.
Source : Archives départementales et patrimoine de l’Hérault.
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Escapade à la source
– Viens ! Je t’ invite à casser la croûte à la source du Lez. Cela nous remontera le moral si tu précèdes ton repas d’une bonne baignade. L’eau est sacrément limpide, un régal ! Sais-tu que juste après la guerre, nous nous y retrouvions à la buvette tenue par le garde de la source et sa famille. Nous dansions, Nous mangions, nous buvions, un peu trop du reste, si bien que il y avait quelques fois des échanges de gnons entre jeunes de lieux différents
– Tu m’avais parlé un jour d’un groupe de trublions du quartier des abattoirs de Montpellier.
– Ah oui ! Ces jeunes allaient uniquement dans les fêtes de villages et ailleurs avec ce seul but : chercher bagarre. À la source du Lez, ils étaient tombés à plusieurs sur le père Pouget, gardien des lieux et “proprio” de la buvette. Bref, la brigade de Tréviers avait dû venir à la rescousse mais il était trop tard et le gardien avait dû être évacué avec un visage largement tuméfié.
– Jamais mise en taule ces trublions
– J’ignore mais je sais qu’à la fête votive de Montferrier, les anciens du village leur avaient préparé une réception maison faite de gourdins et autres gâteries locales. D’autres bourgs ont suivi l’exemple. Autant te dire que la voyouterie des quartiers spécifiques de la ville a préféré modifier son “parcours de santé”. La vie, quoi !
Texte : Raymond Mascarell
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Sur la rose des vents
Le mistral…
… ou “Maître Vent” de la Provence, souffle du nord dans le couloir du Rhône et dans les vallées avoisinantes comme celle de la Durance, puis tourne à l’ouest sur la côte varoise jusqu’à Fréjus ainsi que sur la Corse.
Il confère à l’air une transparence exceptionnelle, la masse d’air étant très sèche. C’est un vent très turbulent, soufflant le plus souvent en fortes rafales.
L’hiver, il procure une sensation de froid intense mais généralement sec. L’été, il est l’ami des incendies de forêts en raison de sa violence et de ses turbulences. En été comme en hiver, il fait le bonheur des vélivoles qui utilisent les ondes d’oscillation de l’atmosphère qu’il déclenche au niveau des reliefs bien exposés.
Il arrive que le mistral soit accompagné de précipitations ; on parle alors de mistral noir. Celui-ci peut être observé lorsqu’une perturbation associée à de l’air très froid instable dévale la vallée du Rhône.
Il souffle à une vitesse moyenne de 50 km/h avec des rafales supérieures à 100 km/h ; il a atteint 140 km/h en février 2002 et en novembre 2004 en Basse-Provence. On observe souvent un renforcement du mistral en aval des reliefs.
Ce vent régional, souvent plus fort en hiver et au printemps, peut durer plusieurs jours, comme à Orange avec 16 jours consécutifs en décembre 1988 et en novembre 2004. Dans l’axe de la vallée du Rhône, là où il est le plus fréquent, le mistral souffle en moyenne 1 jour sur 3. La règle parfois invoquée des 3-6-9 jours (le mistral et la tramontane seraient censés souffler selon ces séquences de journées), n’est absolument pas vérifiée par les statistiques. La fréquence décroît continûment lorsque la durée de l’épisode s’allonge.
La tramontane
Vent de secteur nord à nord-ouest, il parcourt les contreforts des Pyrénées et les monts du sud du Massif Central. Sur la région du Lauragais, en passant entre le Massif Central et les Pyrénées par le seuil de Naurouze, ce vent prenant une composante plus ouest est appelé le cers.
En ancien occitan, on trouve le terme cers dans des textes provenant de Nîmes, de l’Ariège et de Toulouse. Il désigne un vent de nord-ouest sur une zone assez large correspondant à la province romaine appelée la Gaule Narbonnaise. Le cers est surtout connu dans le Bas-Languedoc (Hérault, Aude) mais aussi en Catalogne.
La tramontane présente des similitudes avec le mistral et lui est régulièrement (mais pas toujours) associée : comme ce dernier, elle est souvent assez forte et turbulente, dégage le ciel en amenant de l’air plus froid et sec et génère parfois des nuages. Complètement opposée à la tramontane, une deuxième direction privilégiée de tendance Est apparaît : cette fois il s’agit du vent marin.
Les rafales de la tramontane peuvent atteindre des valeurs maximales de 140 km/h, voire plus vers le Cap Béar. Elle peut souffler en toute saison :
– fréquemment comme à Perpignan avec 115 jours par an, avec plus de vigueur en hiver et au printemps ;
– jusqu’à 17 jours consécutifs comme en mars 1992 et 1993 ;
La situation météorologique amenant la tramontane est comparable à celle qui engendre le mistral :
– une zone anticyclonique sur l’Espagne et le sud-ouest de la France,
– un flux de nord-ouest à nord (souvent à l’arrière d’un front froid) qui apporte de l’air froid vers les régions méditerranéennes, entre cet anticyclone à l’ouest et, à l’est, une dépression formée sur le Golfe de Gênes ou la mer Tyrrhénienne.
La tramontane se forme également lors du déplacement vers l’est d’une perturbation circulant sur la Méditerranée occidentale. Les régions des îles Baléares ou du Golfe du Lion se retrouvent sous l’emprise d’une dépression se creusant rapidement au sortir de la péninsule Ibérique (en général en automne et au printemps). Des dépressions peuvent également s’y succéder au sein d’un flux s’écoulant du nord-ouest au sud-est en longeant l’anticyclone des Açores (généralement en hiver).
Le marin
Le marin est un vent de sud-est soufflant de la Méditerranée vers le Languedoc, la Montagne Noire et les Cévennes.
Sur la région de Narbonne (Aude), le marin est appelé le grec quand il souffle de secteur est.
Il est généralement modéré et régulier, mais il peut être parfois violent et turbulent sur le relief, très humide, doux et amène le plus souvent des précipitations abondantes. Il est plus fréquent au printemps et en automne, lorsque les dépressions s’enfoncent en Méditerranée : c’est le vent des situations perturbées et pluvieuses. Il se charge d’humidité lors de son parcours maritime et va ensuite la restituer sous forme de grisaille (nuages bas, brumes, brouillards) et de pluies, sur les hauteurs qui bordent la mer : les versants sud-est de la Montagne Noire, les Corbières, les contreforts des Cévennes et les premières hauteurs provençales.
Le marin accompagne les épisodes de fortes pluies méditerranéennes et les épisodes cévenols. Lorsqu’il ne s’accompagne pas de pluie, on l’appelle “marin blanc”.
Ses rafales peuvent atteindre des valeurs très élevées comme à Leucate (Aude) dans la nuit du 16 au 17/12/1997 avec 180 km/h, à Montpellier (Hérault) le 16/12/1997 avec 130 km/h. Il peut générer de fortes houles comme à Banyuls (Pyrénées-Orientales) dans la nuit du 3 au 4 décembre 2003, avec une vague maximale mesurée de 13,78 m.
Le grec
Le grec est un vent de nord-est soufflant sur la Provence, la Côte d’Azur (“grécale” ou “grégal” ou “grégau” ou “grégou” ou “tramontana”), le Languedoc-Roussillon (“grégal” ou “gargal”) et la Corse (“grécale” ou “grégale”). Il s’agit d’un vent froid et sec en Provence. Il peut même amener des gelées printanières. Dans certains cas au contraire, au contact de la mer Méditerranée, le grec devient humide et s’accompagne de pluie (voire de neige lors de vagues de froid hivernales).
Le grec se charge en humidité au cours d’un long parcours maritime autour d’une dépression centrée au sud de la Méditerranée Occidentale : Baléares, Sardaigne, Sicile. Il est à l’origine de la formation de brouillards pouvant donner de la bruine sur la plaine du Roussillon. En Corse, il est fréquent en automne et au printemps, très lié aux tempêtes méditerranéennes et peut amener de fortes pluies et des orages sur la façade orientale de l’île.
Il peut atteindre de très fortes valeurs en rafales comme lors de la tempête du 5 mars 2015 avec 185 km/h à la Chiappa dans les environs de Porto Vecchio (Corse du Sud).
Le levant et le ponant
Le levant est un vent d’est soufflant sur les Alpes du Sud, la Provence, et sur le bassin méditerranéen jusqu’en Corse. Il est généralement doux, très humide, et est associé à un temps perturbé. Il souffle le plus fréquemment en fin d’automne, en hiver et au printemps. En Provence, il arrive parfois que le levant souffle par beau temps durant l’été ; on l’appelle alors “levant blanc” ou “repairé” ou “levantas”.
Il résulte souvent de la présence d’une dépression circulant du Golfe de Gascogne vers la Méditerranée occidentale et d’un anticyclone sur l’Europe de l’Est.
Le ponant ou “poniente” est le nom donné au vent d’ouest. Le ponant est donc opposé au levant. Dans le cas où une dépression se creuse sur le sud des Alpes, il souffle sur la Côte d’Azur dans le prolongement d’un mistral établi sur la Provence. Il peut être “bâtard”vquand il prend une composante sud-ouest.
Le levant peut atteindre en rafales des valeurs élevées, comme en journée du 27 février 2016 avec 115 km/h à Leucate (Aude) ; 104 km/h à Sète (Hérault) ; 83 km/h à Embrun (Hautes-Alpes).
Le libeccio
… ou “labech” chez nous.
C’est un vent violent, d’ouest à sud-ouest présent sur la Corse et la Côte d’Azur. En été, il est généralement sec, alors qu’en hiver, il se charge d’humidité et devient porteur de pluie voire d’orages, principalement sur les versants occidentaux.
Du côté oriental, il s’accompagne souvent d’altocumulus lenticulaires stationnant au-dessus des montagnes. Lorsqu’il est de direction ouest sur le sud de la Corse, il devient, du fait de l’orientation du relief, un vent de sud-ouest en Balagne et sur le Cap Corse.
Le libeccio est engendré par l’action d’un anticyclone sur le Golfe de Gascogne et le sud-ouest de la France, et d’une dépression vers le Golfe de Gênes. Il peut atteindre en rafales des valeurs très élevées comme lors de la tempête du 13 janvier 2004 avec 173 km/h à la capitainerie du port de Bastia ; par effet de foehn, une température maximale record voisine de 25 °C
Le Sirocco
Vent du sud à sud-est, chaud et sec en été, on l’observe assez rarement. Sa durée se limite à quelques heures en France. En provenance du Sahara, il souffle sur la Corse et les régions méditerranéennes et transporte du sable saharien.
Teste : Dominique Bourguet
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Claude Boyer
Martin Bidouré, fusillé deux fois
Le 2 décembre 1851, Louis-Napoléon Bonaparte proclame la dissolution de l’Assemblée Nationale. Ce coup d’État a pour but de le maintenir au pouvoir alors qu’il arrive en fin de mandat, c’est ainsi que naît l’épisode des insurgés de 1851.
Depuis la Révolution de 1848, de nombreux clubs patriotiques et républicains ont vu le jour sous l’égide de “La Nouvelle Montagne“, une société secrète dont Ledru-Rollin est l’instigateur.
Le Var ne fait pas exception à la règle et le club patriotique de “La société des Rouges” est très actif dans de nombreux villages dont Barjols.
Louis Ferdinand Martin entrera dans la légende sous le nom de Martin Bidouré, il deviendra le symbole de cette résistance à la dictature pour avoir été fusillé deux fois.
Clic ! La suite est à cette page
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Philippe Natalini
Pierre-André de Suffren
Également appelé de Suffren de Saint-Tropez, il gagne le titre de “Bailli” en entrant dans l’ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem [aussi appelé ordre de Malte], à l’instigation de son père, un aristocrate provençal. Cela lui vaut d’être resté dans la postérité sous le nom de “bailli de Suffren”.
Il connaît son baptême du feu à moins de quinze ans dans la Marine royale de Louis XV, pendant la guerre de la Succession d’Autriche. Il acquiert très vite un commandement et va dès lors s’illustrer avec des fortunes diverses, dans les différents conflits du XVIIIe siècle, en particulier contre les Anglais.
Obèse et mal embouché, il n’en est pas moins considéré comme l’un des plus grands marins français. Napoléon aurait dit de lui à Sainte-Hélène : Oh ! pourquoi cet homme n’a-t-il pas vécu jusqu’à moi, ou pourquoi n’en ai-je pas trouvé un de sa trempe, j’en eusse fait notre Nelson…
Rentré en France après la paix de Versailles (1783), le bailli est élevé à la dignité de vice-amiral. Il meurt dans un duel à la veille de la Révolution française.
Saint-Tropez – Monument au Bailly de Suffren
Détails : plaques de côté – Paul Marttin
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Giselle Penat-Laborde
Passion lavande !
Venue de l’ouest du bassin méditerranéen, la lavande était déjà utilisée par les Romains pour conserver le linge et parfumer les bains.
En Provence, la lavande fut utilisée dès le Moyen Âge pour la composition de parfums et de médicaments, mais c’est à partir du XIXe siècle que sa culture se développe. L’essor de la production française d’huile essentielle de lavande fine est lié à l’implantation de parfumeries dans la région de Grasse. Dans les années 1950, la mise en culture organisée systématique du lavandin prendra ensuite le relais.
De nos jours, la plus grande fête consacrée à la lavande en France est célébrée depuis près de 70 ans à l’occasion du “Corso de la Lavande” à Digne-les-Bains (Alpes-de-Haute-Provence) et il s’achève par un défilé de chars décorés de lavande.
Source : Passion Provence
Clic ! Pour faire un fuseau de lavande…
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Giselle Penat-Laborde
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Jean-Paul Pourade
L’homme assis, à la tête chenue… c’est Raymond Poulidor, le célèbre champion cycliste !
Alain Cathala
Les chemins de fer en Provence…
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Le Canal du Rhône à Sète prolonge le Canal du Midi
Il relie Sète à Frontignan, Aigues Mortes, Saint-Gilles et Beaucaire.
Sa construction fut décidée par les États du Languedoc en 1773, stoppée en 1789, reprise en 1801, entièrement terminée en 1828 . Il traverse plusieurs étangs au Sud de Montpellier, de Pérols et Mauguio, puis la petite Camargue… et rejoint le petit Rhône (un bras du Rhône) au Sud de Saint-Gilles.
[Texte I. Galtier]
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Philippe Levieux
Marmotton gourmand dans les environs de Mont-Dauphin (Hautes Alpes)
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